Journée Mondiale de la Gestion de Patrimoine : 5 bénéfices clés
Lors du rendez-vous annuel du « Grand Prix du Patrimoine Experts certifiés (CGPC) » dans les studios de l’AGEFI Actifs, le Président de CGPC, Raymond Leban, a répondu aux questions de Jean-François Tardiveau, le Rédacteur en chef de l’ AGEFI Actifs :
Puis Raymond Leban et Jean-François Tardiveau ont dévoilé les noms des lauréats du Grand Prix du Patrimoine Experts certifiés CGPC 2024.
Deux partenaires historiques de CGPC, les groupes Covéa et Le Conservateur, ont enfin décrit, par la voix de leurs représentants Yoann Moulin et Christophe Duval, l’intérêt que revêt la certification CGPC pour leurs clients épargnants, leur entreprise et les conseillers qui travaillent pour elle.
Un article de 3 pages présentant la liste des lauréats du Grand Prix du Patrimoine Experts certifiés CGPC 2024 est déjà sorti dans le numéro de mars 2024 du mensuel de l’AGEFI Actifs.
Vous pouvez retrouver l’article en cliquant ICI.
En cette année exceptionnelle où la France reçoit la Coupe du Monde de Rugby et où deux matchs de poule ont lieu à Lyon les mercredi 27 (Namibie-Uruguay) et vendredi 29 septembre (Nouvelle-Zélande, Italie), la Convention Patrimonia avance sa tenue de deux jours.
Une fois n’est pas coutume, l’édition 2023 de Patrimonia se tiendra les mardi 26 et mercredi 27 septembre au Centre des Congrès de Lyon, et non pas en fin de semaine comme traditionnellement. En effet, afin de permettre à tous de participer à Patrimonia dans les meilleures conditions, l’équipe organisatrice a décidé d’avancer la Convention de deux jours.
En raison de la tenue de matchs de la Coupe du Monde de rugby à Lyon, les capacités hôtelières de la ville seront saturées en fin de semaine. Avancer Patrimonia de deux jours permettra à tous les participants d’avoir accès aux hôtels et aux autres lieux de réception dans des conditions normales (tarifs, accessibilité…).
« Nous avons décidé d’avancer la tenue de la Convention de deux jours afin de permettre à l’ensemble des participants de se rendre sur Patrimonia dans les conditions habituelles. En effet, deux matchs de poule de la Coupe du Monde de Rugby se tenant à Lyon en fin de semaine, cela rendait plus difficile l’organisation pour nos visiteurs et partenaires-exposants », déclare Annelies Helmer, commissaire générale de la Convention Patrimonia.
Pour cette édition qui sera celle des 30 ans de la Convention, l’équipe organisatrice permet ainsi à ses 8 000 congressistes attendus et ses 350 partenaires-exposants de se retrouver dans des conditions normales pour partager un moment riche d’échanges et de convivialité.
L’édition 2023 de Patrimonia s’annonce particulièrement dynamique et innovante avec des nouveautés que nous vous dévoilerons très prochainement et des surprises à l’occasion des 30 ans de la Convention.
Un article de 4 pages incluant la liste des lauréats est déjà sorti dans le numéro de mars 2023 du mensuel de l’Agefi Actifs (numéro 837). Vous pouvez retrouver l’article en cliquant ici.
REPLAY : Cérémonie du grand prix du patrimoine 2023
Depuis le début de l’année, les indices « actions » des grandes places financières sont orientés à la baisse, tranchant avec les hausses exceptionnelles enregistrées en 2021. Cette correction, prévisible, conclut une décennie paradoxale marquée par un faible taux de croissance et une récession sans précédent en 2020, provoquée par l’épidémie de covid-19. La digitalisation a succédé à la mondialisation comme facteur de hausse au sein des marchés financiers. Les politiques monétaires dites non conventionnelles, combinant d’amples rachats d’obligations par les banques centrales et des taux historiquement bas, ont également conduit à une appréciation, déconnectée des fondamentaux économiques, des actions et des valeurs immobilières. La résurgence de l’inflation, résultat des plans de relance post-covid et de la crise énergétique sur fond de liquidités abondantes, met un terme à cette déconnexion. Si le changement de cycle est toujours une source de désagrément, il offre la possibilité d’une meilleure allocation de l’épargne alors que les ménages comme les entreprises maintiennent des poches de liquidités impressionnantes. Quand les taux d’inflation étaient faibles, ce comportement, certes peu rationnel, s’avérait peu coûteux. Aujourd’hui, il est tout aussi irrationnel, mais il aboutit à accepter d’être soumis à la taxe inflationniste. Pour y échapper, les épargnants ont l’obligation de réduire leurs liquidités inemployées. En France, à la fin du premier semestre, chaque ménage avait, en moyenne, 17 000 euros sur ses comptes courants. Pour contourner les effets de la versatilité du marché des actions cotées, le private equity constitue désormais une solution accessible au plus grand nombre. De plus en plus de fonds sont éligibles aux contrats d’assurance vie ou au Plan d’Épargne Retraite. Autrefois réservé aux épargnants les plus aisés, le private equity souffrait par ailleurs d’une faible liquidité. Ce type de placement qui offre des rendements sur longue période attractifs tend à se démocratiser. Son caractère risqué peut être atténué par le recours à la mutualisation à travers la souscription de parts. À la différence d’acquisition d’actions cotées qui s’effectuent essentiellement sur le marché secondaire, celle concernant les actions non cotées peut financer directement le développement des entreprises. Il y a ainsi un lien direct entre l’épargne et la société qui en bénéficie. En France, les entreprises se financent traditionnellement par crédits bancaires, mais la hausse des taux devrait les inciter à privilégier le renforcement de leurs fonds propres. Cette nécessité se justifie d’autant plus que le digital et la transition énergétique imposent la réalisation d’importants investissements.
Au-delà du « Corporate », les épargnants peuvent de plus en plus facilement accéder à des produits autrefois réservés aux professionnels. Ainsi, après les ETF qui se sont popularisés ces dix dernières années, ils peuvent acquérir des couvertures de change, de taux, d’inflation ou accéder à des fonds d’obligations à haut rendement. La gestion déléguée qui se diffuse constitue une avancée. Elle permet un pilotage en temps réel des placements, l’épargnant évitant ainsi d’agir à contretemps.
L’inflation n’a pas que des défauts. En obligeant les épargnants et les investisseurs à sortir des sentiers battus, elle pourrait permettre à l’économie réelle de reprendre ses droits, l’innovation, la rentabilité prenant le pas sur la spéculation et les rentes.
Jean-Pierre Thomas
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L’expert-conseil en gestion de patrimoine fournit des prestations d’expertise, de conseil et d’accompagnement à forte valeur ajoutée, au service d’une clientèle patrimoniale, particuliers, professionnels ou entreprises, soucieuse de bénéficier d’une stratégie de protection et d’optimisation de son patrimoine, dans une perspective de moyen ou long terme.
En conformité avec les réglementations européennes et françaises en vigueur, et dans le respect des normes de pratique et engagements éthiques applicables à l’Expert-conseil en gestion de patrimoine, ce professionnel élabore, met en œuvre et suit le déploiement de la stratégie patrimoniale dans le cadre d’une approche globale du client.